Mes chères études est un BON livre qui se lit en quelques heures tant il est passionant et prenant. Alors que les restaurants et bars de certaines régions du pays ouvrent progressivement, les églises sont soumises à des restrictions strictes. Pendant tout le temps qua duré cette lecture, je me suis trouvée partagée entre un sentiment de compassion pour Laura, qui a le même âge que moi et qui vit un peu les mêmes difficultés que moi et quune grande part des étudiants daujourdhui, et un sentiment critique, justement dû au fait que je sais très bien de quoi elle parle et quelle ma souvent donné limpression de tout mettre sur la faute des autres et pas grand-chose sur son pouvoir à elle. Ça donne un portrait très noir et très misérabiliste de la situation des étudiants pauvres en France, parfois un peu difficile à avaler. Jai de la difficulté à croire quil y ait aussi peu de ressources et autant de barrières pour obtenir un diplôme en France : aide financière pratiquement inaccessible, logements ou chambres complètement hors de prix, emplois détudiants minablesLaura D. Les a tous connus, et cest supposément ce qui la menée là où lon sait. Je suis la première à admettre quil est difficile de tout concilier quand on est étudiant, mais quand même, ce nest pas parce quon devient prostitué pendant nos études quon peut dire quon le fait pour nos études et à cause de la société. Cest ce qui ma un peu dérangée dans ce roman. Dans la première page, on peut lire : momox-shop utilise des cookies et des technologies similaires pour comprendre les paramètres de vos terminaux et de votre navigateur. Patrick Gillard nous explique que les cas détudiantes, il en rencontre peu. Elles ne se tournent pas vers les associations. Ce que confirme Marie Meunier. Les Sugarbabies ne se voient pas comme des prostituées. Elles niront pas. Elles ont trop honte. Et basée à Villeneuve dAscq dans le nord de la France. Une sorte dEmmaüs du livre. Votre demande dinscription aux newsletters de Nice-Matin et Var-Matin à bien été prise en compte. Nous avons parcouru les hauts lieux de la prostitution de la ville à deux semaines décart les jeudis et vendredis soir de la fin du mois daoût, entre 23h et 3h du matin. Le premier soir et sur un parcours allant du parc de la Citadelle au lycée Pasteur, puis vers la plaine des Bouchers par la rue du Doubs : nous avons comptabilisé 43 prostituées. Certaines ne dépassaient pas la vingtaine dannées. Un drive-in de prostituées dans la plaine des Bouchers Lucy, est une jeune étudiante. Elle travaille ici et là pour gagner un peu dargent, jusquau jour où elle répond à une annonce dans sa fac qui la conduit à coucher avec des hommes âgés, droguée pour ne rien se rappeler de la nuit et reprendre le cours de sa vie tranquillement le lendemain matin. Quelques jours plus tard, jai rencontré une jeune femme terre à terre, pragmatique, cérébrale. Récemment arrivée à Paris pour la poursuite de ses études, Rose bûche et travaille beaucoup. Une vie détudiante à Paris Il me semble bien que tu ne connais, ni lun ni lautre. Cest lactu décryptée au quotidien et racontée avec un ton unique. Personne ne souhaite dire quil se prostitue, dit Patrick Gillard, président de Sawa, une association bruxelloise qui vient en aide aux prostituées. Elles nont pas seulement peur du jugement de la société, mais au fond delles-mêmes, elles savent que ce nest pas ça quelles veulent, pour elles, pour leurs enfants Précarité des étudiants à Montpellier : la prostitution,un recours face aux difficultés-midilibre.fr Article rédigé par : les étudiants du master 2 de lÉcole de journalisme de Grenoble. Retrouvez chaque matin le meilleur des articles de korii, le site biz et tech par Slate. .